Le groupe FEMMIR (Femmes Médecins en Médecine Intensive et Réanimation), au sein de la SRLF, s’interroge sur l’impact d’un congé maternité d’une médecin réanimatrice au sein de l’hôpital public, la possibilité de son remplacement, l’impact sur l’organisation de travail de l’équipe médicale et l’impact sur la femme elle-même.
Pour ce faire, voici trois questionnaires anonymes à participation libre, un adressé aux chef.fe.s des services de Réanimation, un adressé aux médecins femmes (cheffes de clinique, assistantes, praticiennes hospitalières, praticiennes hospitalières universitaires, professeures universitaires praticiennes hospitalières), un adressé aux médecins hommes (les mêmes profils professionnels sus-mentionnés) de ces mêmes services.
L’objectif est d’obtenir des données chiffrées sur une situation systémique et prévisible qu’est la grossesse (et le congé maternité qui s’ensuit) pour laquelle il semble à ce jour qu’elle soit traitée au cas par cas, chaque service s’adaptant individuellement, restant un impensé des organisations de travail, avec d’autant plus d’impact potentiel du fait de l’obligation de continuité des soins.
Nous vous remercions pour votre participation importante.
Le Groupe FEMMIR de la SRLF